AUTEUR : Ecrivaillon

Luc, un étudiant brillant âgé de 19 ans est un passionné d’histoires de domination, de contraintes, de régression imposée et d’informatique. Avec un pseudo féminin, sur un forum initialement réservé aux femmes, il prend contact avec « petite coquine » une lesbienne adepte de soumission et de couches. Les échanges via le chat sont cordiaux, sans vulgarité, il parvient aisément à dominer virtuellement son interlocutrice soumise. Un soir, les échanges vont si loin qu’il parvient à obtenir un échange par webcam. Lorsque l’image de « petite coquine » s’affiche sur son écran, Luc manque s’étouffer avec son coca en voyant sa prof de philo lui apparaître comme il l’a demandé.

Vêtue d’une couche et de collants, elle caresse ses tétons en urinant dans sa couche. Les captures d’images qu’il réalise sont immédiatement enregistrées et sauvegardées sur une clé USB car une trouvaille pareille se sauvegarde ! ! ! ! La prof, prise dans son trip de pseudo contrainte et totalement en confiance, va jusqu’à tirer la langue en même temps qu’une main dans la couche elle se caresse pour le plaisir des yeux de sa Maîtresse virtuelle. Après l’avoir félicitée, lorsqu’il lui indique qu’ils se verront le lendemain pour en parler, Lucie Parter est prise d’un soudain pressentiment et d’un réel malaise.

Le lendemain

Luc se rapproche du bureau de la prof à la fin du cours sous prétexte de lui demander un conseil. Lorsqu’il lui présente un classeur avec les captures d’écran réalisées lors de la soirée, la terre semble s’ouvrir sous les pieds de la prof se mettant à chanceler. Même si les images sont d’une mauvaise qualité, elle est très facilement reconnaissable dans une tenue et une posture particulièrement compromettantes.

• Petite coquine va me donner son adresse pour que je puisse accepter son invitation.

• Jamais ! Répond la prof blême et folle de rage.

• Petite coquine va me donner son adresse pour que je puisse accepter son invitation à dîner ce soir. Répète Luc sans sourciller. Elle me recevra nue sous sa jupe pour que je lui donne sa fessée avant le dîner puis, si elle est sage, je la mettrai en couche pour la nuit ou ses photos seront collées dès demain dans le lycée.

Odieusement piégée, Lucie Parter voit défiler devant ses yeux, les élèves et ses collègues se moquant d’elle, puis le visage sanguinaire d’un inspecteur d’académie lui parlant des pétitions des parents réclamant son expulsion. A 29 ans, terminer sa carrière dans la honte et le scandale ou voir même aller en prison serait une véritable catastrophe.

• Venez au 36 rue des Abeilles, nous parlerons de tout cela à tête reposée. Lui répond-elle en se reprenant.

• Je vois que Petite coquine a compris, mais qu’elle n’oublie pas la tenue demandée ou sa punition sera doublée.

Si la journée fut très riche en songes érotiques pour Luc, celle de Lucie est particulièrement angoissante. Ses cours sont lamentables, son déjeuner s’est réduit à une pomme. A 19 heures, elle est douchée, nue sous sa jupe pour ne pas provoquer son maître-chanteur et surtout pour essayer d’amadouer Luc. Lorsque la sonnette retentie, c’est avec beaucoup de difficultés qu’elle ouvre la porte à l’étudiant. Conscient qu’elle va se rebeller, il lui ordonne de se taire puis lui tend une sucette de bébé achetée au supermarché du coin qu’elle doit mettre immédiatement dans sa bouche. Coupée dans sa stratégie pour amadouer l’étudiant, en rougissant elle abdique aussitôt pour réfléchir à un angle d’approche pour la discussion qu’elle veut avoir et gérer mais il ne lui en laisse pas le temps.

• Ecoute-moi bien petite coquine, je n’ai nulle envie de gâcher ta carrière ni de te couvrir de honte, mais tu ne dois pas parler et m’écouter à la lettre. Je vais simplement te faire vivre la soumission et les jeux que tu as envie de vivre. A partir de maintenant tu es ma soumise, je te punirai chaque fois que tu le mérites et si tu parles de quoi que ce soit à la police, un ami diffusera les photos. Mets les mains dans le dos, baisse les yeux quand tu es face à moi et attends-moi là.

Les yeux larmoyants et la gorge serrée, Lucie le voit entrer dans son salon pour y déposer un sac à dos. L’attente lui parait aussi interminable que cruelle. Un instant plus tard, Luc lui pose un bandeau sur les yeux puis guide sa prof cramoisie dans l’appartement. Lorsqu’il s’assoie sur une chaise et l’attire sur ses genoux pour la fessée promise, elle fond en larmes mais il n’en a que faire. La jupe prestement relevée, les fesses délicieusement galbées de sa prof de philo sont un ravissement pour les yeux de l’étudiant qui ne peut contenir un compliment sur la beauté du fessier et des jambes délicieuses. Lucie morte de honte et, s’attendant à souffrir, n’a que faire du compliment. La main s’abattant doucement sur ses fesses tendues lui fait l’effet d’une brulure. Lentement comme il l’a appris en lisant des textes de TSM, (sourire) Luc entreprend de fesser sa prof en dosant pour générer une montée progressive en douleur en alternant d’une petite caresse de temps en temps.

Sans aller jusqu’à dire qu’elle y prend plaisir, Lucie s’étonne de ne pas réellement souffrir puis des sensations de fourmillement de la fesse momentanément délaissée. L’intensité des coups augmente progressivement pour devenir plus sévère, la prof commence à essayer de fuir mais en vain, l’étudiant sportif et musclé la tient fermement. La fessée terminée, vidée de toute énergie Lucie ne bouge plus en s’adentant au pire et sexe inévitable.

Le sexe n’est pas des intentions de Luc, après un petit massage des délicieuses rondeurs rouges, il intime l’ordre à Lucie de se lever pour aller au coin en mettant les mains sur la tête. Morte de honte et brisée, elle abdique à nouveau. Son fesseur lui relève sa jupe qu’il bloque afin d’apprécier la vue pendant qu’il sirote un coca trouvé dans le frigidaire. Les minutes de ce silence pesant s’égrainent lentement pour l’un comme pour l’autre, Luc n’en étant qu’aux balbutiements de la domination.

• Où sont tes couches ? Lui demande-t-il soudain.

• Dans ma chambre je vais les chercher si tu veux.

• Si « tu veux », mais depuis quand tutoie-ton son Maître ? Qui t’a dit de bouger ? Où ça dans ta chambre ?

• En bas de la penderie répond Lucie blême qui espérait que les choses se termineraient là.

Luc se lève d’un bond, pour aller prendre une couche et en profite pour fouiller la boîte à jouets de la prof découverte sous le paquet de couches.

• Petite coquine, s’offre des jouets en plus de ses couches à ce que je vois, la prochaine fois il faudra me faire voir comment tu les utilises. En attendant retire ta jupe et viens t’allonger sur la table que je m’occupe de mon gros bébé soumis.

• On va arrêter là maintenant, cela suffit ! Explose soudain la prof rageuse.

La suite est ici

Ecrivaillon